Lire, dire, écrire avec Ludo de Rius Michel (Mic)

Lire, dire, écrire avec Ludo de Rius Michel dit Mic

Introduction

Une fois n’est pas coutume, je vais laisser la parole à ma collègue Ludivine, maîtresse de CP nouvellement nommée sur la classe de CP, à qui j’ai présenté cette méthode envoyée par mon partenaire Génération 5. Une fois découverte, elle l’a achetée pour la tester depuis septembre 2020 dans notre école.

Kit de base chez Génération 5 : https://www.generation5.fr/374–kit-de-base-methode-de-lecture-ludo-edition-2020.php?part=539

Kit complet chez Génération 5 : https://www.generation5.fr/373–kit-complet-methode-de-lecture-ludo-edition-2020.ph?part=539

Sur Amazon : https://amzn.to/3gQaP4Z

Si vous l’achetez sur catalogue après visite d’un représentant Génération 5 pensez à lui dire que vous l’avez découvert sur mon blog et anotez-y le code : partenaire 539. Merci 

Voici son témoignage après 4 mois d’utilisation :

Je suis enseignante de CP à l’école . Etant novice dans ce niveau, ma collègue  Séverine m’a parlé de cette méthode en me la présentant et je me suis lancée en l’achetant avec la COOP de l’école.

Cette méthode est vraiment complète. Il y a une étude de sons (2 par semaine) avec la lecture de syllabes, de mots inventés, de mots existants, de phrases et une petite histoire.

Une étude de la Langue est proposée dès le début du manuel et c’est très bien. Tout se fait naturellement à la suite de la lecture.

Une petite question est proposée à la fin de l’histoire « Je m’exprime » pour l’EMC. On peut débattre sur ces différents sujets, qui sont très variés. Les élèves adorent se mettre à la place de Ludo.

Le guide du maitre est un outil vraiment fabuleux. Des pistes sont proposées, tout en laissant la liberté pédagogique à chaque enseignant : une semaine type avec le déroulement des séances, des étiquettes pour utiliser avec les élèves (aide ou travail à faire), des fiches sons à compléter, des dictées flash, les illustrations et les boites de mots pour la production d’écrit, une liste d’albums de jeunesse à étudier en parallèle et enfin des évaluations pour les fins de période.

Des exercices sont également disponibles grâce au fichier de l’élève.

Ludo est un personnage attachant et les élèves se mettent facilement à sa place.

Les histoires ont toujours un lien avec le vécu des élèves (Ludo est malade, la récréation, la dispute…) et elles coïncident avec le temps (le jour d’automne, c’est une histoire de champignons car c’est l’automne…)

Toutes les semaines, l’étude de sons est présentée de la même façon sur le manuel et cela rassure les élèves. Ils ne sont pas perdus et c’est un point positif. C’est également le cas pour les exercices du fichier, pour chaque son, les exercices se ressemblent et cela permet à certains élèves d’être autonomes, ce qui laisse plus de temps pour s’occuper des élèves en difficulté.

Pour la lecture de syllabes, les sons sont inversés dès le début du CP. Cela était difficile au début mais c’est vrai que les élèves se sont vite habitués et butent moins quand le son est à la fin (son [r] ra et ar, son [f] fi et if).

Par contre, il n’y a pas d’inversement pour le son [n] et c’est très bien. Les élèves ne confondent pas avec le son « en » ou « an », que l’on peut voir dans certaines méthodes de lecture.

Pour la lecture de mots et de phrases, les lettres muettes sont grisées et le son étudié est mis en valeur par une couleur, cela facilite énormément la lecture des élèves.

Lire des mots inventés, les élèves trouvaient cela bizarre car ces mots ne veulent rien dire. Mais je trouve que c’est un bon entrainement au déchiffrage mais également pour les évaluations nationales de CP. En effet, concernant les évaluations nationales en janvier, à un moment donné, les élèves doivent lire des mots inventés et le fait de s’être entrainer avant, ne va pas les perturber.

Le fait que les syllabes ne soient pas marquées en dessous était compliqué au début, mais les élèves ont vite compris qu’il s’agissait de syllabes simples à lire et qu’ils pouvaient essayer de le faire seul.

De toute façon, le marquage de syllabes évolue dans la méthode puisque, plus on avance dans les histoires, plus le marquage disparait.

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Concernant la production d’écrit, les boites à mots présentées sont très pratiques pour les élèves et sont d’une grande aide (mot + dessin). Le fait de mettre les déterminants devant chaque nom n’est pas forcément nécessaire pour les élèves, cela les perturbe lors de leur production, le mot suffirait.

Une maitresse « aide et soutien » travaille avec nous deux fois par semaine. Elle intervient dans d’autres écoles et m’a confié que cette méthode était vraiment bien, par rapport à certaines, notamment « Calimots ». Elle voyait les élèves bien progresser depuis le mois de septembre.

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Selon ma pratique, je trouve deux petits points négatifs :

Premièrement, pour la dernière semaine d’école avant les vacances, le fait qu’il y ait deux sons à étudier et en plus, les évaluations à passer, je trouve que la semaine est très chargée pour les élèves. Serait-il plus judicieux de proposer qu’un seul son pour cette semaine ? En plus, étant la dernière semaine, les élèves sont plus fatigués et moins réceptifs.

Puis, je trouve qu’il y a un manque dans « La petite histoire de Nina ». On pourrait pourquoi pas rajouter une petite image afin d’illustrer le petit texte.

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Je n’ai pas assez d’expérience sur les méthodes de lecture pratiquées en CP, mais ce qui est sûr, c’est que travailler avec cette méthode « Lire, dire, écrire avec Ludo » est un vrai plaisir pour mes élèves et également pour moi-même. Si je devais donner une note sur cet outil, je donnerais :

 17/20

Si j’ai encore l’opportunité de travailler avec des CP durant les prochaines années, j’utiliserai sans hésitation cette méthode.

Mme G. Ludivine, enseignante de CP.


Moi j’ajouterai que je connais très bien cette méthode depuis plusieurs années et pour laquelle ma copinette blogueuse Sanléane a participé pour la partie lecture.

J’aime le DVD qui permet de vidéoprojeter mais aussi les grandes affiches en couleur, et le nec plus ultra avoir en classe la mascotte Ludo en tissu et les tampons pour encourager et féliciter !

Cette méthode est formidable et c’est pourquoi je l’ai présenté à ma collègue Ludivine sans hésitation qui s’est empressée de l’acheter pour sa classe.

Le cartable de  Séverine

L’Ecole de la philanthropie

L’Ecole de la philanthropie

 Votre programme d’EMC clé en main !

 Comment s’engager lorsque l’on est enfant ? Vous avez certainement déjà entendu cette question émerger dans votre classe, et ce, particulièrement depuis la crise sanitaire.  Grâce à des supports pédagogiques gratuits, L’École de la philanthropie vous apporte des réponses en proposant un dispositif innovant pour éveiller vos élèves à l’engagement citoyen.

 Développer la philanthropie chez les enfants dès le plus jeune âge

Parce que la philanthropie n’est pas l’affaire des plus aisés ou des plus âgés, L’École de la philanthropie vous propose des supports et un programme pédagogique pour sensibiliser vos élèves de CM1 et CM2 à la philanthropie, à la solidarité et à l’engagement associatif. Et les liens avec les programmes scolaires ? Ce dispositif vous permet de mettre en œuvre, avec votre classe, le programme d’EMC et les 4 domaines qu’il porte : la sensibilité, la règle et le droit, le jugement, l’engagement.

 Un dispositif pédagogique en deux temps

En engageant votre classe dans le programme de L’École de la philanthropie, vous permettez aux enfants de découvrir la philanthropie et la solidarité en deux étapes :

1/ « Je découvre la philanthropie » : pour(quoi) m’engager ? Un apprentissage théorique portant sur la philanthropie et une information adaptée sur les causes pour lesquelles les enfants peuvent s’engager (santé, environnement, éducation, droits humains, l’art et culture, lutte contre la pauvreté).

2/ « J’agis » : les enfants imaginent et mènent une action solidaire collective auprès d’une association d’intérêt général référencée sur notre plateforme. Chaque enfant est un acteur à part entière au sein du programme : après une prise de conscience individuelle, il s’engage collectivement avec sa classe en faveur de la cause à défendre.

Accepter les différences de l’autre, confronter son point de vue, exercer son esprit critique avant de choisir un thème, mener une action collective, vivre dans un climat de coopération : voici les objectifs que vous pourrez suivre avec vos élèves en menant le programme de L’École de la philanthropie. C’est aussi l’occasion pour l’élève de vivre pleinement sa citoyenneté et de participer à l’évolution de son environnement.

 Des ressources pédagogiques gratuites

Grâce à une plateforme numérique (https://plateforme.ecoledelaphilanthropie.org/), vous avez accès à :

  • un guide enseignant vous expliquant la démarche et le programme ;

  • des fiches pédagogiques conçues avec Nathan pour aborder l’empathie, la philanthropie et la solidarité en classe ;

  • des activités ludiques conçues par des enseignants, conseillers pédagogiques et partenaires éducatifs ;

  • des vidéos sur les causes abordées développées par Milan Presse et France TV ;

  • un accès personnel à l’interface de mise en relation avec des associations partenaires ;

  • une hotline pour vous guider dans toutes ces étapes.

 2500 enseignants nous font confiance

Près de 2500 enseignants se sont inscrits au programme cette année !

« Le programme a permis de fédérer les enseignants de cycle 3 autour d’un projet commun. Le dispositif pédagogique de L’École de la philanthropie contribue à créer un éveil citoyen et moral chez les élèves. Par la mise en œuvre d’une action concrète de proximité, il permet également de matérialiser la ʺculture de l’engagementʺ impulsée par le programme scolaire d’EMC. » Enseignante de CM1, (Bougival, 78)

 Et l’intérêt pour les associations ?

Les associations qui s’inscrivent sur la plateforme ont l’opportunité de sensibiliser les classes qui les contactent à leur cause (lutte contre la pauvreté et l’exclusion, art et culture, environnement, éducation, droits humains, santé) et de monter des projets solidaires simplement avec des élèves.

Un engagement simple, en quelques minutes pour accéder à l’ensemble des ressources gratuitement

Pour vous inscrire, rien de plus simple ! Il vous suffit de vous créer un compte enseignant à l’aide de votre adresse mail. Vous pourrez suivre le programme étape par étape, télécharger les documents PDF et visionner les vidéos créées avec nos partenaires de manière illimitée ! Pour toute question sur votre inscription, vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante : contact@ecoledelaphilanthropie.org.

 Qui gère le programme de L’École de la philanthropie ?

Une équipe salariée de 3 personnes coordonne le développement du programme partout en France, aidée par une trentaine de bénévoles qui font vivre l’association. L’École de la philanthropie est soutenue par Les Fondations Edmond de Rothschild et la Fondation de France.

Pour plus d’informations : https://www.ecoledelaphilanthropie.org/

Copyright photo :  Thomas Gaschignard

Article diffusé dans le cadre d’un partenariat média.